Véronique, Raymonde Audition téléphonique par l’adjudant Giard
Née le : 18 mai 1972 de la gendarmerie de Villebois-Lavalette 16
Adresse : Saint-Cyprien pour le magistrat de permanence de Privas 07
Tél : 06-17-83-14-14 Date audition : 16 mai 2025
Email : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. Plainte de MME MICHALAK, responsable de la P.J.J.
Profession : juriste indépendante
Conformément aux instructions reçues le 14 avril 2025 par le magistrat de permanence près le parquet de Privas, nous entendons RAYMONDE Véronique par téléphone (écriture en tout majuscule du prénom Raymonde et dans un ordre inversé à cause du logiciel)
Bonjour. Où vous trouvez-vous actuellement ?
Je suis à Saint-Cyprien, dans les Pyrénées-Orientales.
Le 15 mars 2023, vous avez eu un entretien avec les personnels de la Protection Judiciaire Jeunesse (P.J.J.) entretien organisé dans le cadre d’une mesure judiciaire d’investigation éducative ordonnée par Madame la juge des enfants près du tribunal de Privas 07. Nous vous entendons sur le fait que vous avez retranscrit cet entretien via un enregistrement et que vous l’avez diffusé sur le site placedeshumains en notification publique.
Tout d’abord, est-ce que vous enregistrez cet entretien ?
Oui, pour ma protection et ma sécurité, et la protection de mes droits.
Ya pas de souci.
Quelle est votre identité, nom, prénom(s), donnés par vos parents à votre naissance ?
Mes parents m’ont nommé de deux prénoms : Véronique et Raymonde. J’utilise, et si besoin je complète avec ce que j’appelle des compléments des prénoms tels que mentionné sur l’acte de naissance, notamment « fille de Roger et de Teresa » ou encore « de Perpignan » où je suis née. Je n’utilise plus « MORATA » puisque c’est illégal (fraude du NOMDEFAMILLE). Cette façon de m’appeler, "Véronique, Raymonde", est autorisée et obligatoire puisqu’une loi interdit de modifier ce qui a été enregistré à l’état civil. Loi du 23 août 1794, du 6 fructidor de l’an II.
Quelle est votre autre identité que vous officialisez comme être humain ?
Je n’ai qu’une seule identité, celle mentionnée dans le corps du texte de mon acte de naissance, que l’on vient d’aborder ci-dessus. Je ne souhaite pas vivre en marge de la véritable réalité de la société humaine, donc je n’utilise pas les mentions marginales telles que « MORATA » et je ne souhaite pas cautionner ni participer à la fraude du NOM puisqu’elle est la base juridique de l’usurpation de l’identité humaine pour tous. Cela est parfaitement expliqué et détaillé dans l’acte juridique « Jugement et mandat d’arrêt » du 11 juillet 2024 émis par le tribunal populaire des droits de l’Homme qui condamne tout le système et ses employés pour ces motifs notamment. Je souhaite que l’on m’appelle Véronique, Raymonde. C’est à cause des logiciels que notamment au cours de cette audition Raymonde apparaît en lettres capitales et en première position, ce qui n’est pas la vérité de mon identité. Cette vérité est dans mon acte de naissance : « Véronique, Raymonde ». Ceux qui sont gênés de m’appeler par mon prénom peuvent aussi ajouter le titre de « Dame » devant.
Concernant votre entretien du 15 mars 2023, avez-vous bien enregistré, retranscrit et diffusé cet entretien sur le site placedeshumains en notification publique ?
Oui, puisque l’U.E.M.O. Privas (services sociaux) a une mission de service public.
Pourquoi avoir diffusé cet entretien sur les réseaux sociaux en l’occurrence sur le site placedeshumains ?
Placedeshumains est un site Internet qui inclut le journal d’annonces légales et légitimes, populaire et public de la Nation Humaine que j’utilise pour ma mission de service public : manifester la vérité et bien sûr les fraudes, délits et crimes, ré-informer la population, rendre publiques les décisions de justice du tribunal populaire des droits de l’Homme dont le référentiel de droit est le plus haut dans la hiérarchie des normes : la déclaration des droits de l’Homme de 1789 et tous les articles de lois et de codes qui lui sont parfaitement conformes. Le peuple s’est ré-organisé pour assurer et garantir lui-même la sauvegarde de ses droits, le respect des lois qui les protègent et de nouvelles institutions ont été créées : le tribunal populaire des droits de l’Homme et la nation des Etres Humains sur Terre qui n’est qu’une autre manière de nommer le peuple, la population. Nous en sommes à mettre en place un partenariat avec les gendarmes puisque notre mission est commune : être au service de la population, sauvegarder les droits de l’Homme et les libertés fondamentales, et les principes généraux du droit et des lois.
J’ai diffusé cet entretien pour que les gens s’éveillent, qu’ils aient un déclic, qu’ils sachent qu’une solution existe à tous leurs maux, à toutes les injustices.
Avez-vous eu le consentement du personnel présent pour diffuser cet entretien ?
Je n’ai pas besoin du consentement à rendre publics les propos tenus par des gens dotés d’une mission de service public. Leur consentement est explicite du fait de leur contrat de travail pour une mission de service public.
Le personnel présent savait-il que vous enregistriez cet entretien ?
Non.
Reconnaissez-vous les infractions qui peuvent être retenues contre vous, à savoir :
1-Divulgation d’informations personnelles permettant d’identifier ou de localiser une personne chargée d’une mission de service public et exposant à un risque direct d’atteinte à la personne ou aux biens,
2-diffamation envers une juridiction, une administration publique, un corps constitué ou l’armée par paroles, écrits, images ou moyens de communication au public par voie électronique,
3- utilisation, conservation ou divulgation de documents ou enregistrements obtenus par une atteinte à l’intimité de la vie privée d’autrui ?
Elles sont toutes non applicables à cette présente affaire du simple fait de la définition des mots :
-Les données personnelles « nom » et « prénom » sont publiques du fait de leur fonction,
-La qualification de diffamation est hors de propos puisque la réalité des faits ne répond pas à la définition,
-Pour la troisième infraction retenue, il n’y a pas d’intimité de la vie privée, c’est hors propos lorsqu’on a une mission de service public.
Il n’y a pas d’infraction, à aucune loi.
Avez-vous autre chose à nous dire ?
Les lois sont faites pour interdire de nuire. Mes actions n’ont engendré aucune nuisance à ces trois dames. Et s’il y en avait eu, des preuves testimoniales graves et concordantes auraient dû être fournies par les prétendues victimes.
L’entretien du 15 mars s’est terminé par une garantie que j’allais être contactée par téléphone par la psychologue pour me donner les éléments du dossier ouvert auquel elle a accès au tribunal et pas moi. Cet engagement n’a jamais été honoré, ni par Mélissandre Brunel, ni par Laurence Teil, ni par leur responsable Armelle Michalak.
Cet entretien téléphonique prend fin à 18h22.
Nous faisons lecture de la procédure.
Véronique, Raymonde Adjudant Giard
Force et honneur,
Dame Véronique de Perpignan
Fondatrice de la nouvelle organisation de la société humaine :
La Nation des Êtres Humains Sur Terre N.E.H.S.Terre,
Incluant :
Le tribunal populaire des droits de l'Homme
Nouvelles institutions publiques, populaires, légales, légitimes et de droit,
Garantes du respect des droits naturels des Etres Humains, du Vivant, et des lois Divines universelles,
En présence et sous les auspices de l'Etre Suprême, omnipotent, omniprésent, omniscient.